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Yves Hélory de Kermartin, ou Yves de Tréguier, ou Erwan Helouri en breton, ou saint Yves dans la tradition catholique, est un prêtre et official du diocèse de Tréguier, né probablement vers Modèle:Date de naissanceModèle:Note au manoir de Kermartin à Minihy, dans le Duché de Bretagne, et mort le Modèle:Date de décès au même endroit.

Considéré par l'Église catholique comme ayant consacré sa vie à la justice et aux pauvres, il est canonisé le Modèle:Date- par le pape Clément VI. Saint Yves est le saint patron de toutes les professions de justice et de droit, notamment celle d’avocat. Il est également saint patron de la Bretagne et fait l'objet d'un grand pardon à l'occasion de la fête de la Saint-Yves tous les ans à Tréguier. On le fête le 19 mai.

Nom

Modèle:Article détaillé En breton, saint Yves est appelé sant Erwan. Si Erwan est une des variantes les plus communes pour le désigner, elle est originaire du Trégor. On retrouve aussi Iwan, Youenn ou Eozen dans d'autres régions de Bretagne. Ces variantes proviennent de ses deux prototypes : Modèle:Page h', emprunt au français, et Eudon, prénom vieux breton[1], qui étaient vraisemblablement considérés comme synonymes du temps de saint Yves[2].

Biographie

Sources

La source principale de référence utilisée pour connaître la vie de Yves Hélory de Kermartin est la procédure entamée en 1330 pour aboutir à sa canonisation. L'enquête de canonisation s'ouvre le Modèle:Date- et aboutit positivement le Modèle:Date-[3]. Elle fournit dans la première partie un certain nombre de témoignages sur ce que fut sa vie, la manière dont les gens le percevaient et, dans la seconde partie, les miracles qui lui sont attribués. Le rouleau de cette enquête est présenté au pape Jean XXII le Modèle:Date-. Une copie, conservée dans un manuscrit déposé à la Bibliothèque municipale de Saint-Brieuc, a permis la première publication du texte en latin en 1887, puis en français au Modèle:S[4].

Après sa canonisation, on trouve peu d'écrits au bas Moyen Âge sur sa vie[5]. Utilisant sans doute comme source principale l'enquête de canonisation, la première vie serait composée au Modèle:S par Maurice Godefroy, un dominicain de Morlaix, qui y ajoute des éléments issus de la tradition orale[6]Modèle:,[7]. Ce manuscrit est repris ensuite par Papebroch dans les Acta Sanctorum des bollandistes[7]. Entre-temps, il est aussi fait mention de la vie de saint Yves au quatrième livre des Grandes croniques de Bretaigne d'Alain Bouchart[5]Modèle:,[7]. Bouchart reprend des éléments du procès en canonisation, mais ajoute également des éléments inédits, de sources inconnues[5]. À partir de la Renaissance plusieurs récits de sa vie sont écrits en français, en latin, en breton et en italien.

Enfin, il existe également un document en latin écrit de la main d'Yves Hélory de Kermartin : son testament, qui est le seul de ses écrits transmis jusqu'à nos jours[8].

Enfance et jeunesse

Lieu supposé de la naissance de Saint Yves, avant sa destruction au Modèle:S-.

La date de naissance de Yves Hélory de Kermartin est inconnue. Selon toute vraisemblance elle se situerait au milieu du Modèle:S, la tradition retenant généralement Modèle:Date, mais d'autres années sont parfois proposées. Dans son livre Saint Yves de Tréguier : un saint du Modèle:S-, Jean-Christophe Cassard défend une naissance en Modèle:Date, ce qui permettrait selon lui une chronologie cohérente jusqu'en 1280[9].

Yves Hélory de Kermartin naît dans une famille noble au manoir de KermartinModèle:Note sur la paroisse de Minihy. Son grand-père, Ganaret de Kermartin, est chevalier[10]. Son père, Hélory, est damoiseau, et sa mère, Azo, est aussi certainement noble[10]. Sa mère prétend qu'un songe lui aurait révélé que son fils serait un saint[11]. Il a un frère et deux sœurs dont on ne sait pas grand chose[12].

Il grandit dans le Trégor et part dans les années 1260 accompagné de son précepteur, Jean de Kerhos, clerc de la paroisse de Pleubian, à Paris pour suivre des études à la Sorbonne. Il étudie six ans à la faculté des arts avant de passer son examen final rue du Fouarre à 20 ans[13]. Il poursuit ensuite ses études rue du Clos-Bruneau à la faculté de décret où il apprend le droit canon[13]. Il partirait ensuite en Modèle:Date- poursuivre ses études de droit romain à l'université d'Orléans. Il retourne probablement trois années à Paris, entre 1274 et 1277, pour y étudier la théologie[9]. Déjà, il se fait remarquer par sa vie de privation en faveur des pauvres[11].

Retour et vie en Bretagne

Claude Vignon : Saint Yves (huile sur toile, 1635, évêché de saint-Brieuc).

Ses études achevées trois ans plus tard, il revient en 1280 en Bretagne à Rennes[14], où il est nommé official de l'archidiacre. C'est à Rennes qu'il assiste, en 1281[14], à une lecture des Sentences chez les Frères mineurs qui le marque et qui l'amène plus tard à prendre la décision de prêcher et de ne s'habiller plus que très modestement[15].

L'évêque de Tréguier, Alain de Bruc, remarque ses talents et le presse de revenir à Tréguier. Avec le décès de ses parents, il hérite de la part du patrimoine familial qui lui est due[8]. En plus d'inviter volontiers les miséreux à sa table, il recueille également deux orphelins, Derrien Guiomar, dominicain, et Olivier Floc'h[11].

En 1284, Alain de Bruc le nomme official et l'ordonne prêtre. Il le nomme ensuite recteur de la paroisse de Trédrez. Puis en 1292, le nouvel évêque l'envoie dans la paroisse de Louannec[16], proches des terres de son enfance. Modèle:Source insuffisante.

À cette époque, Yves prêche énormément et est reconnu pour ses talents d'orateur ainsi que pour sa capacité à captiver son auditoire[17]. Il se déplace beaucoup à pied dans la région de Tréguier, où il est vu plusieurs fois dans la même journée à des lieux différents et de bonne distance, notamment le dimanche où il prêche dans plusieurs églises du diocèse de Tréguier et de Saint-Brieuc[18].

Vie d'ascèse

Dans l'enquête de canonisation, plusieurs témoins décrivent la vie de Yves comme une vie d'ascèse. Au moins lors des dix dernières années de sa vie, il ne porte que des vêtements modestes, composés essentiellement d'une bure blanche[19]. Il porte aussi un cilice de crin sous ses vêtements et est couvert de poux de corps, dont il n'essaie pas de se débarrasser[19]. Devenu végétarien dans sa jeunesse[19], au cours des dernières années de sa vie il ne mange plus que très peu, se nourrissant exclusivement de pain, de légumes et de légumineuses, et ne buvant que de l'eau. Selon quelques témoins, il jeûne trois jours par semaine au pain et à l'eau, mais s'autorise à manger deux œufs le jour de Pâques. Il partage ses biens avec les plus démunis et accueille tous les jours des pauvres à manger chez lui. Il refuse toujours de dormir dans un lit, préférant dormir à même le sol[19].

Témoignages et légendes

Saint Yves entre le riche et le pauvre (bois polychrome du Modèle:S, cathédrale Saint-Corentin de Quimper)

Dans l'enquête de canonisation, où son attachement aux pauvres et au soulagement de leur misère est considéré de « only>notoriété publique », un certain nombre de faits sont rapportés sur la manière dont Yves Hélori pouvait se comporter et rendre justice.

Il y est fait mention à plusieurs reprises de moments où Yves cède ses vêtements à des pauvres qu'il rencontre. Un de ces événement pourrait se situer en 1291 et correspondre alors à sa conversion dix ans après avoir entendu la lecture des Sentences de Pierre Lombard chez les franciscains[19]. À l'Hôtel-Dieu de Tréguier il se serait défait de plusieurs de ses habits précieux, qu'il aurait ensuite partagés entre plusieurs pauvres, avant de repartir en courant vers Minihy où se trouve son manoir[19]Modèle:,[20]. Un autre témoin fait état d'un fait similaire où Yves cède un de ses habits à un pauvre rencontré dans la rue, dans une maison proche, avant de se hâter vers sa demeure[21].

Des légendes, qui sont confondues avec des éléments historiques de la vie de Yves, existent aussi. Alain Bouchart en propose deux se déroulant à Tours et qui semblent procéder de son imagination ou d'une source inconnue[5]. Une des légendes qui est fréquemment attribuée à Yves, bien qu'absente du procès en canonisation, a acquis une certaine postérité. Elle est similaire à l'épisode de Seigny Joan et du rôtisseur dans Le Tiers Livre écrit par Rabelais[22]. Appelé à traiter une affaire opposant un aubergiste à un mendiant qui se nourrirait des odeurs de la cuisine du premier, Yves prend quelques pièces dans sa bourse et les jette sur la table devant lui. L'aubergiste tend la main pour les prendre mais saint Yves retient sa main et lui dit que « only>le son paye l'odeur, à cet homme l'odeur de ta cuisine, à toi le son de ces pièces ». Cette légende sert alors à illustrer la façon dont saint Yves pouvait être reconnu par les démunis comme l'avocat qui fait justice sans tenir compte de la condition sociale.

Mort

Yves Hélory abandonne sa charge au diocèse en 1298 pour se consacrer entièrement à la contemplation[3]. Il meurt le Modèle:Date-, le jour de l'ascension, dans son manoir de Kermartin. Son corps est transporté sur un brancard à la cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier, où de nombreuses personnes se déplacent pour s'approcher de sa dépouille et pouvoir la toucher[23]Modèle:,[24].

Canonisation

Les premières démarches afin d’obtenir la reconnaissance officielle auprès de la papauté sont initiées par le duc de Bretagne Jean III. Ce dernier envoie en décembre 1329 son frère Guy de Bretagne, comte de Penthièvre, accompagner l'évêque de Tréguier Yves de Boisboissel afin de supplier le pape Jean XXII de procéder à sa canonisation. Le pape Jean XXII donne une bulle en date du Modèle:Date-, décrétant l'ouverture d'une enquête sur la vie et les miracles d'Yves Hélory, et nomme à cet effet trois commissaires apostoliques chargés de se rendre sur place pour entendre les témoins. Leur audition de 300 témoins débute le Modèle:Date- à Tréguier et s’achève le Modèle:Date- suivant. Le Modèle:Date-, les procès-verbaux des enquêtes sont présentés en plein consistoire au pape qui nomme, séance tenante, trois cardinaux chargés d’examiner la cause et de préparer la tenue d’un consistoire au terme duquel il donnera sa décision finale. Par acte du Modèle:Date-, le pape Clément VI, canonise officiellement Yves Hélory en l’inscrivant au catalogue des saints et en fixant au Modèle:Date- le jour de la célébration de saint Yves.

Culte et iconographie

Culte

Le chef de saint Yves dans sa châsse
Mausolée dans la cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier

Le Modèle:Date-, à la levée du corps du saint, sa tête est placée dans un reliquaire et le reste des reliques mis dans un sépulcre que Jean V de Bretagne fait surmonter d'un monument, dans la cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier[3], où le corps d'Yves avait été apporté juste après sa mort.

Son culte est resté particulièrement vivace en Bretagne où les chapelles qui lui sont dédiées ainsi que les statues le représentant sont très fréquentes. Les récits hagiographiques également comme, à titre d'exemple, celui-ci :

Modèle:Vers

Dans un vieux cantique populaire, on le fêtait en chantant Modèle:Langue Modèle:En français.

Ernest Renan a décrit la dévotion dont saint Yves était l'objet dans sa jeunesse : Modèle:Citation bloc

Saint Yves est le saint patron de toutes les professions de justice et de droit, notamment celle des avocats. Chaque Modèle:Date-, à Tréguier, lors de la fête de la Saint-Yves, une délégation de ces professions accompagne le pardon à saint Yves qui est une des grandes fêtes religieuses bretonnes, au même titre que le pardon de Sainte-Anne-d'Auray.

La veille du Pardon, depuis 1993, le Barreau de Saint-Brieuc organise à Tréguier un Colloque, occasion de rencontre et de réflexion entre juristes sur un sujet d'actualité.

De même, de nombreuses associations de juristes et des facultés de droit ont pour saint patron Yves. Par exemple Saint Yves Society, ONG basée à Jérusalem, la conférence Saint-Yves, ou encore l'association Saint Yves Lyonnais.

Par la communion des saints, la tradition religieuse permet aux catholiques de solliciter l'intercession de saint Yves afin d'obtenir bonne fin des procédures pour lesquelles ils sont en demande ou en défense sous forme de neuvaine ou de prière quotidienne[25].

Églises dédiées à saint Yves

Saint-Yves-des-Bretons, église nationale des Bretons à Rome

Modèle:Article détaillé Dès la première moitié du Modèle:S-, Alain de Coetivy obtient du pape Nicolas V la concession d'une église à Rome, bâtie probablement au Modèle:S- et placée alors sous le patronage de saint André. Par bulle du Modèle:Date-, Calixte III, successeur de Nicolas V, ratifie cette décision. Cette vieille église est détruite en 1875 pour cause de vétusté et reconstruite dans le même temps plus petite dans un style néo-renaissance florentine.

Un tympan en terre cuite vernissée surmonte la porte d'entrée principale et représente au centre une Vierge à l'Enfant, à sa droite saint Yves et à sa gauche saint Bernard. L'ancienne église conservait de nombreuses pierres tombales de bretons décédés à Rome et enterrés dans l'église. Elles ornent aujourd'hui le cloître de Saint-Louis-des-Français à Rome[26]. La façade a été restaurée pour l'année 2003, année du septième centenaire de la mort du saint. Cette petite église dite « Saint-Yves-des-Bretons » (Sant'Ivo dei Bretoni), située au Modèle:N° Vicolo della Campana se visite sur demande auprès du recteur de Saint-Louis-des-Français. Le Modèle:Date-, chaque année, une messe en français y est célébrée en l'honneur de saint Yves.

La seconde église dédiée au saint à Rome s'appelle Sant'Ivo alla Sapienza. Église originale en particulier par la tour qui la surmonte représentant la tour de Babel. Elle fut construite entre 1642 et 1660 par Borromini dans l'enceinte du Palazzo della Sapienza abritant alors le Studio Romano qui devint ensuite l'université de Rome (jusqu'en 1935). À l'intérieur de l'église se trouve un retable représentant saint Yves commencé par Pierre de Cortone (1596-1669) et achevé par un ou plusieurs de ses élèves.

En France, la Confrérie Saint-Yves est fondée à Paris et décide d'élever une chapelle en l'honneur du saint. Un projet approuvé par Foulques de Chanac, évêque de Paris de 1342 à 1349, par lettres du lundi après l'Assomption de 1348[27]. L'ancienne chapelle Saint-Yves de Paris a été détruite en 1796.

D'autres églises et chapelles sont dédiées à saint Yves : Modèle:Article détaillé

Iconographie

On le représente généralement avec une bourse dans une main, pour signifier tout l'argent qu'il a donné aux pauvres dans sa vie, et un parchemin dans l'autre, qui rappelle sa charge de juge ecclésiastique. Il est également souvent figuré entre un homme riche et un homme pauvre.

Saint-Yves-de-Vérité

Modèle:Article détaillé Saint-Yves-de-Vérité était, à l'origine, l'une des appellations officielles données à saint Yves, mais qui, au cours des siècles, a plus particulièrement été attribuée à des statues de ce saint qui étaient invoquées, selon des pratiques superstitieuses, en Bretagne afin de faire mourir d'autres personnes dans l'année.

Postérité

À la fin du Modèle:S-, le mouvement culturel breton lance l'idée d'une fête annuelle des Bretons (à l'instar de la Saint-Patrick pour les Irlandais) et retient le jour de la Saint-Yves comme date fédératrice. Désormais le Modèle:Date- est l'occasion d'un grand pardon à Tréguier, mais aussi dans toute la Bretagne et partout où des Bretons sont installés, sous le nom de Gouel Erwan (litt.: « fête de Yves »). Le pardon est souvent encadré de festivités profanes qui peuvent durer plus d'une journée. En 2011, la Région Bretagne les reprend officiellement sous le nom de « Fête de la Bretagne ».

Notes et références

Notes

Références

  1. Modèle:Harvsp.
  2. Modèle:Harvsp
  3. 3,0 3,1 et 3,2 Michel Priziac et Michel Mohrt, Bretagne des saints et des croyances, Kidour, , p. 513
  4. Modèle:Lien web
  5. 5,0 5,1 5,2 et 5,3 Modèle:Harvsp
  6. Albert Le Grand, Les vies des Saints de la Bretagne-Armorique, , p. 280
  7. 7,0 7,1 et 7,2 M. S. Roparz, Histoire de Saint Yves : patron des gens de justice, , p. V-VII
  8. 8,0 et 8,1 Modèle:Harvsp
  9. 9,0 et 9,1 Modèle:Harvsp
  10. 10,0 et 10,1 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées SourceNaissance
  11. 11,0 11,1 et 11,2 Michel Priziac et Michel Mohrt, Bretagne des saints et des croyances, Kidour, , p. 512.
  12. Modèle:Harvsp
  13. 13,0 et 13,1 Modèle:Harvsp
  14. 14,0 et 14,1 Modèle:Harvsp
  15. Modèle:Harvsp
  16. Modèle:Harvsp
  17. Modèle:Harvsp
  18. Modèle:Harvsp
  19. 19,0 19,1 19,2 19,3 19,4 et 19,5 Modèle:Harvsp
  20. Modèle:Harvsp
  21. Modèle:Harvsp
  22. Henri Weitzmann, Itinéraire des légendes bretonnes, Hachette, , p. 27
  23. Modèle:Harvsp
  24. Modèle:Harvsp
  25. Modèle:Lien web
  26. François de LEPINAY, Architecture religieuse à Rome à la fin du Modèle:S- : la reconstruction de Saint-Yves-des-Bretons.
  27. Modèle:Lien web

Voir aussi

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Bibliographie

  • Michel Carrouges, Saint Yves, avocat des pauvres, Modèle:Date-, 34 pages, Éditions du Cerf, coll. « Albums, fêtes et saisons».
  • Jean-Christophe Cassard, Saint Yves de Tréguier : un saint du Modèle:S-, Paris, Beauchesne, (lire en ligne).
  • Jean-Christophe Cassard, Jacques Dervilly et Daniel Giraudon, Les Chemins de saint Yves, Morlaix, Modèle:Éd. Skol Vreizh, 1994.
  • Jean-Christophe Cassard (dir.) et Georges Provost (dir.), Saint Yves et les Bretons : Culte, images, mémoire (actes du colloque organisé à Tréguier du 18 au 20 septembre 2003), Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 368 p. (lire en ligne).
  • René Couffon, La Confrérie de Saint-Yves à Paris et sa chapelle, Saint-Brieuc, Presses bretonnes, 1933.
  • François Falc'hun, « Les noms bretons de saint Yves », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, t. 50, no 1,‎ , p. 177-194 (lire en ligne)
  • Erreur Lua dans package.lua à la ligne 80 : module 'Module:Nombre2texte/Data' not found..
  • Muriel Glaunec (dir.) et Erwan Le Bozec (dir.), conseil général des Côtes-d'Armor, D'Yves Hélory à saint Yves : Exposition itinérante (catalogue de l'exposition itinérante élaborée à partir de l'exposition présentée au domaine départemental de la Roche-Jagu du 17 mai au 1 novembre 2003), s. d. (lire en ligne).
  • Pierre de La Haye, Saint Yves de Tréguier, éditions d’art Jos Le Doaré, 1973.
  • Jean-Paul Le Guillou (trad. du latin), Saint Yves de Tréguier : Enquête canonique, Paris, Éditions L'Harmattan, , 263 p. (ISBN 978-2-343-06586-1)
  • Jean Le Mappian, Saint Yves patron des juristes, Éditions Ouest-France, 1997.
  • Marie-Thérèse Le Moign-Klipffel, Saint Yves, Saint-Brieuc, Presses bretonnes, 1939.
  • Benoît Le Roux, Saint Yves, 158 p., Via Romana, Versailles, 2012 Modèle:ISBN.
  • Louis Mahé (préf. François Serrand, ill. Yves Le Meur, Janvier et Joseph Savin), Saint Yves : Son pardon à Tréguier, Octave-Louis Aubert, , 68 p.
  • Louis Mahé, Monsieur Saint Yves : Sa vie, ses miracles, ses triomphes, Saint-Brieuc, René Prud'homme, 1949.
  • Alexandre Masseron, Saint Yves, Paris, Modèle:Éd. Henri Laurens.
  • Henri Poisson, La Vie de saint Yves, Rennes, Éditions Ouest-France, 2003 Modèle:ISBN.
  • Henri Queffélec, Saint Yves, Paris, Ramsay, 1987 (réédition Éditions de la Seine, 1991).
  • Gildas Salaün, "Médailles de Saint-Yves", Annales de la Société Bretonne de Numismatique et d'Histoire (ISSN 1250-5781), 2003, pp. 73–75.
  • Marie-Paule Salonne, Saint Yves, patron des avocats, avocat des opprimés, Éditions franciscaines, Paris, 1945.
  • François Semur, Yves de Kermartin, magistrat et avocat du Modèle:S- : Nouveaux regards sur la vie et le culte du plus grand saint de Bretagne, patron des hommes de loi et universitaires, Bannalec, éditions Jos Le Doaré, , 86 p. (ISBN 2-904412-01-8).
  • Anonyme, Dans les pas de Saint-Yves, Lannon, Impram, coll. « Le Trégor », , 24 p., plaquette agrafée, in-8°, 21 x 15 cm, phot. noir et blanc dans le texte.
  • Octave-Louis Aubert, Le Pardon de Saint Yves de Tréguier (photos de Raphaël Binet) in La Bretagne Touristique Modèle:N°, Modèle:Date-.

Bande dessinée

  • Gilles Chaillet, Vasco n°20, Le Dogue de Brocéliande. Publié par Le Lombard en 2003. Modèle:ISBN. 48p.
  • Nicolas de Beauregard, Sareph, Danevell-Destins trégorrois. Publié par Coop Breizh en 2017. Modèle:ISBN.

Liens externes

Modèle:Liens